C’EST L’ETE ici comme chez vous, mais pour nous ce
sera une journée hivernale avec de la pluie et entre 8 et 10° au thermomètre.
Réveil extraordinaire en compagnie du glacier et
d’un couple de labbes parasites… mais des oiseaux, nous vous en reparlons plus
tard.
Malgré le temps, nous ne résistons pas l’envie de
retourner à Jokulsarlon pour revoir ce ballet d’icebergs sur la lagune. Toujours
en mouvement, ces masses de glace nous offre un autre paysage aujourd’hui. Un
spectacle féerique.
Sans trucages ni retouches
Ensuite nos guides nous recommandent la cascade de Svartifoss près de Skaftafell. A vue de nez on se rapproche de la capitale : beaucoup de touristes et donc beaucoup de parkings et d’installations touristiques. Encore un office de tourisme impeccable.
Nous randonnons tranquillement pendant 2 heures
1/2. Nous « buffons » tous les 4 dans la montée un peu sévère.
Bien fait de venir : la cascade est exceptionnelle.
Encadrée par des colonnes basaltiques régulières. Drôle de phénomène géologique
que ces tuyaux de roches parfaitement hexagonaux. Dame nature fait bien les
choses.
Maisons traditionnelles à toit de tourbe gazonnée |
La force de la nature |
Pause nocturne près d’une rivière qui serpente dans
un sandar.
Les sandars sont des régions plates et monotones
dans le sud-est islandais. En altitude, les glaciers absorbent le limon, le
sable et les graviers produits par l’érosion de la roche. Ces matériaux sont
ensuite transportés vers la côte par les rivières glaciaires, ou de manière
spectaculaire par les débâcles glaciaires, et se déversent dans d’immenses
plaines désertiques. Ici, les sandars sont si vastes que le mot islandais est
utilisé dans toutes les langues pour désigner ce phénomène.
Merci Lonely Planet, nous aurons au moins appris ça
aujourd’hui… vous aussi peut-être ?