Après un tour à l’immense bibliothèque qui fait
office de tourisme, nous avons une adresse pour un nouvel achat de poisson
frais. Cette fois c’est une poissonnerie-resto qui cuisine du fish and chips.
Suivi d’un petit tour à la poste pour un envoi de cartes postales. Qu’est-ce
qu’on aimerait avoir une postière comme celle de Siglufordur. Souriante,
agréable, serviable derrière son guichet… même pour n’acheter que des timbres,
c’est un plaisir.
Ensuite, re-bonne surprise au Musée du hareng que
nous avions visité au pas de course hier soir. Nous étions arrivés 20 minutes avant
la fermeture. Donc, donc… nous avons demandé à faire valoir notre billet
d’entrée de la veille pour continuer notre tour, aucun problème, tout nous est
ouvert. Formidable !
Avant de remonter sur le plateau par une piste qui
nous mène à Olafsfjordur, nous empruntons le tunnel « du diable »,
selon mon pilote en chef. Oppressant.
Les monts environnants sont à 1000 m, enneigés ou
même coiffés d’un glacier. Nous, nous culminons à 300 m mais nos sorties pour
les photos et pour la lessive dans un torrent sont carrément fraîches !
Le tunnel du diable ! |
Cohabition ... |
Deux charmants ports magnifiquement éclairés,
Olafsfjordur et Dalvik.
Là, avec ce grand soleil, nous sommes tentés par une excursion en bateau pour aller observer les baleines qui viennent se nourrir dans le Eyjafjordur. C’est complet pour ce soir, et on n’a pas envie d’attendre demain sans assurance sur la météo !
Là, avec ce grand soleil, nous sommes tentés par une excursion en bateau pour aller observer les baleines qui viennent se nourrir dans le Eyjafjordur. C’est complet pour ce soir, et on n’a pas envie d’attendre demain sans assurance sur la météo !
Alors, en cherchant dans nos multiples
documentations, on apprend que le port de Hauganes à quelques kilomètres
propose le même programme. Vite, on appuie sur les pédales. Chouette,
nous pouvons avoir des places pour 18h. Banco. On s’équipe de combinaisons
« Bibendum » et à l’heure dite, on embarque sur un ancien mais coquet
bateau de pêcheur pour une virée de trois heures dans le fjord.
Ici, à cette époque, la mer réunit toutes les
conditions nécessaires à la production de plancton, le repas favori de ces
énormes cétacés.
Reportage de ce moment inoubliable en images.
Pour les connaisseurs, sachez que les bêbêtes que
nous avons vues sont des baleines de Minke (petites) et des baleines à bosse
(11 m et 40 tonnes).
A l’issue de la pêche à la ligne. Un membre de
l’équipage tire les filets des cabillauds et des églefins et fait la
distribution à ceux qui le souhaitent. C’est ainsi que nous repartons avec près
d’un kilo de poisson. Cuisson immédiate pour se régaler demain avec Christiane
et Patrick.
Nous terminons notre journée en quasi overdose
d’émerveillement, si ça peut exister. En tout cas, nous sommes conscients
d’avoir vécu une expérience unique. H E U R E U X !!!
1 commentaire:
Et quand je pense qu'on peut se faire traiter de BALEINE, finalement je ne ressentirai plus les choses de la meme façon,
Merci pour ce beau reportage !
Christine T.
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