Direction le nord-est, vers Husafell. Nous avons
repéré un tunnel de lave que nous devrions pouvoir visiter gratuitement. Mais,
attendons, nous nous rendons compte depuis notre arrivée que les sites gratos
annoncés par les guides sont maintenant parfaitement organisés pour nous
faire payer des droits d’entrée exorbitants. Normal quand le tourisme devient
la principale ressource du pays.
Nous voilà arrivés. Vue sur le glacier
Eiriksjokjull. Le champ de lave laisse entrevoir d’énormes cavités. Le sentier
est balisé. Super.
La première cavité sera notre terrain
d’exploration. On se prendrait presque pour le professeur Lidenbrock !
Nous devons descendre plusieurs mètres en enjambant d’énormes blocs de lave. Un
tunnel gigantesque s’ouvre sous nos yeux. On peut progresser prudemment tant
que la lumière est suffisante. Chaotique. Mais tellement grisant.
L’entrée du tunnel s’éloigne, on allume nos
torches. Les rayons de lumière dévoilent des couleurs et des formes de rochers
étranges. Nous avons au-dessus de nous, à 5/6 mètres, la voûte du tunnel d’un
arrondi presque parfait. Le tunnel fait près de 2km de long. Nous nous
arrêterons à une centaine de mètres. C’est déjà inoui et sensationnel d’être
là !
Pas de conditions idéales pour les photos. Je vous
laisse explorer avec nous.
Près d’Husafell, nouvelle découverte. Celle d’une
cascade d’une largeur faramineuse. L’eau s’affale sur des plateaux de basalte. Paradisiaque
(avec quelques degrés supplémentaires).
C’est comme ça l’Islande. Des curiosités
spectaculaires que nous n’avons jamais vues ailleurs. Épatant !
1 commentaire:
Bonjour à nos voyageurs,
et au phoque qui nous saluait !....
Pour la plante avec sa touffe blanche c'est : LA LINAIGRETTE.
On trouve communément les linaigrettes dans les endroits humides dans les tourbières en terrain siliceux. Certaines espèces, comme E. latifolium se rencontrent dans les marais alcalins (terrains calcaires). Leur aire de répartition va des régions arctiques jusqu'aux régions tempérées, où elles sont surtout présentes en montagne. Autrefois répandues en plaine, elles y sont désormais rares du fait de la disparition de leur milieu.
Dans certaines régions, on a pu se servir de leurs soies comme du coton. Les soies que l'on observe appartiennent aux graines (des akènes). La dispersion des graines se fait par le vent : ce sont des plantes anémochores.
Nous sommes toujours ravis d'avoir de vos nouvelles. Mille bisous rafraîchis en ce lundi matin, il a plu sur NANTES, il y fait moins chaud. A plus.....
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