Torshavn by night ...
Ça fait beaucoup vu comme ça ! |
Nos chauffeurs à l'oeuvre |
Cette fois, en plus d’un gros contingent de touristes camping-caristes, pour la plupart de notre génération, il y a beaucoup de familles féroiennes avec des enfants qui partent en vacances sur le continent. Le bateau fait bien les choses pour eux : animations, maquillage, musique… y’a de l’ambiance.
Et parmi tout ça : des tricoteuses qui
s’installent partout avec leurs ouvrages. Il faut savoir que le tricot est
sport national en Islande et aux Féroé. Célèbres pulls islandais avec des
encolures rondes aux motifs géométriques, et puis les gants, les bonnets, les
chaussettes… les moutons de ces îles fournissent une laine hydrofuge
particulièrement adaptée aux conditions météo locales.
A part un tout petit peu de brassage au début, la
mer nous gâte avec son calme plat.
Une fois que nous aurons calé notre heure, ça ira.
Ici, en bateau, on nous indique l’heure islandaise
(GMT), puis l’heure des Féroé et du bateau (GMT + 1), et l’heure danoise (GMT +
2). François se bat un peu avec son opérateur téléphonique, qui lui, doit se
sentir entre deux eaux… ce qui est sûr, c’est qu’il a du mal à choisir son
heure !
L’essentiel dans un bateau c’est de ne pas rater
l’heure des repas. Et pour ça, pas de problème : il suffit de suivre le cri des
estomacs de Christiane et Patrick, eux, sont toujours on time.
Autre « temps fort », l’apéro bière,
comme dans les camping-cars. Au bar du navire, les choses sont bien faites. Entre
18 h et 21 h c’est l’Happy Hour (2 bières pour le prix d’une !).
Bon à part ça, je confirme : la croisière ce n’est
vraiment, mais alors vraiment pas dans mes gènes.
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