LECHE-VITRINE et CASCADES

Une nuit avec des oiseaux sur le toit, c’est aussi une expérience unique, mais moins réjouissante celle là. Sans doute les gravelots que l’on aperçoit ce matin et qui ont dû confondre le jour et la nuit . Faut dire qu’ici, il fait jour nuit et jour, alors, on les pardonne, tout le monde peut se tromper !

Notre prochaine étape, Akureyri, est la 2^ème grande ville d’Islande (à part celles de la banlieue de Reykjavik). La mégalopole du nord avec à peine 20 000 habitants. Pour les touristes, Akureyri a tout d’une grande ville. Les magasins de souvenirs fleurissent dans la rue principale. L’occasion de faire des achats plaisir.

 

Un petit coeur en guise de feu rouge ... pour rendre le sourire aux gens lors de la crise de 2008 !!

Et puis, ce midi, rassemblement des équipages. Nous retrouvons nos amis Boucherie après leur virée montagnarde. Le 4X4 il a pas aimé les pistes caillouteuses. Patte de fixation du pare-buffle cassée. Mais super Patrick est passé par là. Le pare-buffle noir est maintenant joliment maintenu par des sangles orange. Et ça tient.

Rien de passionnant dans notre promenade en ville. Nous profitons du parking du port pour notre pause déjeûner, animée par quelques départs de vieux gréements. Animation restreinte. Un paquebot  impose sa masse au-dessus des quais, mais ça n’a pas l’air de bouger beaucoup.

Excellent... avec les galets islandais

Centre culturel

Pas de regrets donc à reprendre la route. Nous nous réjouissons d’aller voir un magasin d’objets de Noël vanté par nos guides. Christiane espère y trouver des nains de jardins. Râté. La maison du père Noël est bien là ; comme partout rouge et blanche. Une ambiance très très kitch. De beaux objets. Des prix complètement, mais alors, complètement déraisonnables.  Et nous, nous nous décidons à rester raisonnables… tant pis pour nos prochains sapins !

Après, ballade à l’une des innombrables cascades de ce pays. On ne s’en lasse pas. Godafoss rugit. Le débit impressionne. Une large chute de 15m de haut suivie d’une petite qui bouillonne tout autant 200 m plus loin.

Un lac peuplé de canards (encore) fera notre fond d’écran pour ce soir. Une nouveauté sur le plan d’eau : un grèbe esclavon avec des bandes rousses de chaque côté de la tête ; esthétiquement pas à mon goût. Et puis un autre  palmipède noir et blanc inconnu par notre bible sur les oiseaux. Alors, on note ça pour plus tard. Vous, vous savez peut-être ? A suivre…